Actualités du Riad et d'Essaouira

2017

Spécial séjours hivernaux : nous avons équipé le riad de deux chauffages d’appoint, de grosses couvertures et de réserve de bois pour les feux de cheminée. Plus aucune raison de ne pas partir pendant l’hiver à Essaouira !

2016

Nous venons de faire construire un magnifique observatoire sur la terrasse, afin d’avoir une vue plongeante sur la mer à 500 mètres de là et sur la médina en 360°.

2015

Nous enrichissons à chacun de nos séjours la DVDthèque, CDthèque, Bibliothèque et coin jeux de société du riad ! Aucun risque d’ennui durant les soirées au coin du feu.

Eté 2014

Un auvent sur la terrasse…

Le gouverneur d’Essaouira avait demandé à 3 artistes souiris emblématiques de créer un drapeau à partir d’une de leurs œuvres, drapeau qui flottait à l’entrée de la ville. Mohamed Asmah a fait celui-ci que nous avons attaché sur la terrasse avec maniques et cordages, magnifique, non?! Et efficace, nous l’avons testé.

Mai 2013

Je viens de découvrir, ô joie, un magnifique texte de Michel Déon sur Essaouira écrit en 1955*. Il, et la ville, n’a pas pris une ride, non ?
“L’arrivée sur Mogador par une route qui serpente au flanc d’une montagne couverte de mimosas, l’apparition de cette villa blanche posée au bord de l’océan et serrée dans son étau de remparts, ces ruelles étroites enchevêtrées géométriquement par un disciple de Vauban, l’allée d’araucarias géants ployés par le vent amer, m’ont transporté sur une scène de théâtre, dans le décor d’une pièce où j’aurais voulu jouer le rôle de François Cornut, architecte français, prisonnier du magnifique sultan Sidi Mohamed ben Abdallah. 
Imaginez un peu l’aventure de ce jeune homme enlevé par des corsaires, transporté de son Anjou natal sur une côte nue, brûlée par le soleil d’Afrique et le sel des embruns. Cela pourrait ressembler à une sombre histoire de pirates, jusqu’au moment où le sultan commande à François Cornut de lui construire, à la pointe de la rade, une citadelle comme Saint-Malo. Les farouches guerriers à mine patibulaire se transforment en maçons, et le prisonnier devient le maître d’un chantier qui taille, dans la pierre dure des rochers, le creuset d’une ville blanche, la perle de la côte, l’enfant naturel de l’imagination française et du génie arabe. Les toits des plus hautes maisons affleurent à peine le niveau des remparts, et, de l’océan, nul ne peut deviner que se cachent là des corsaires. Les créneaux sont assez larges pour laisser passer la bouche ouverte d’énormes bombardes frappées aux armes des Anglais ou des Portugais. Un esprit cartésien a nettoyé la médina. D’un côté les juifs, de l’autre les musulmans. Ils ne se mélangent que dans les souks et sous la colonnade inattendue d’une petite cloître européen qui sert de marché aux puces. Voilà une ville qui, en deux siècles, n’a pas pris une ride.”
* Tout l’amour du monde, Editions Plon

Décembre 2012

François-Régis (Gaudry, de l’Express) y est allé pour nous en éclaireur! La mouette et les dromadaires, au bord d’un très beau spot de surf, Sidia Kaouki (15 Km au sud d’Essaouira), vaut effectivement le déplacement :

> Découvrir l’article de l’Express

Novembre 2012

Enfin !!!!!! Essaouira directement de Paris via Transavia, à des tarifs ultraraisonnables, horaire (d’aller en tout cas) un peu moins attractif! Mais bon, ce lever à l’aube devrait être très vite oublié…

> Découvrir le communiqué Transavia

Mars 2012

Dans l’Express Styles en ce jour de Printemps (le 21 mars)
A la question « Décrivez-nous un paysage qui suscite le rêve ? », le créateur de mode Jean-Charles de Castelbajac répond :
« Essaouira, au Maroc, pays de mon enfance. Une superbe cité, battue par les vents, qui n’est pas restaurée. J’aime toucher les murs et y sentir les fantômes. J’y suis allé encore récemment, et c’est en me baladant sur la plage, d’une beauté incroyable, que j’ai su que je retournerai y vivre ».
> Découvrir l’article de l’Express

Décembre 2011

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Novembre 2011

Intouchables, le film dont le héros vit à Essaouira !

Il fait salles pleines depuis plusieurs semaines en France… Ce phénomène de cinéma, Intouchables, raconte l’amitié qui naît, croît et embellit entre un homme d’affaires français tétraplégique et son “assistant de vie“ issu de la banlieue. Le scénario est adapté du livre d’une histoire vraie vécue et écrite par Philippe Pozzo di Borgo. Celui-ci vit désormais à Essaouira, belle et paisible, dans une des ruelles secrètes de la médina… Peut-être toute proche de Dar Zouina ?
> Découvrir l’article du Figaro

Septembre 2011

Un article très sympa sur Essaouira dans le Figaro : http://madame.lefigaro.fr/art-de-vivre/essaouira-dans-pas-deliette-abecassis-060911-168958

Et si vous veniez tester toutes ces belles et bonnes adresses, n’hésitez à vérifier si le riad est disponible !  > Accédez à notre calendrier

Avril 2011

Découverte, un sculpteur sur bois
À quelques pas de Dar Zouina, hors des sentiers battus par les touristes, dans une petite ruelle secrète (si secrète que j’ai mis ensuite un certain temps à retrouver l’endroit, armée d’un plan !), l’atelier d’un vieux monsieur sculpteur depuis toujours. Son support ? Les planches des vieux bateaux en bois d’Essaouira (les sardiniers), vendues aux enchères quand même la rouille ne les tient plus ! Il y sculpte des frises d’oiseaux, volatiles imaginaires ou de bord de plage, des scènes de la vie quotidienne dans la région d’Essaouira. Admirez son travail au-dessus de la chambre en entrant dans Dar Zouina !

Test, le tout nouveau golf d’Essaouira !
Pour y aller, un petit taxi bleu à la sortie de la médina (20 drh environ) qui vous conduit pour le moment à la “station d’accueil“ (qui n’est pas l’entrée du golf), le club-house à l’heure où nous avons testé le golf étant encore en construction.
On peut louer ses clubs sur place (il y en a aussi quelques-uns à Dar Zouina, demandez-les à Abdul), de deux types (dont haut de gamme, style Calloway). Des balles de récupération sont en vente sur place. Et mieux vaut prendre une voiturette pour éviter de cuire trop longtemps au soleil, même si les Alizées rendent supportable une éventuelle trop grande chaleur… Il existe sinon une navette, gratuite, pour rallier rapidement le parcours.
Le parcours est à la fois boisé et de bord de mer, agréable, sans trop de difficulté : un bon joueur s’amusera, un joueur moyen souffrira peut-être un peu !
Au retour, navette possible qui vous emmène directement aux portes de la médina.
Le tarif officiel du parcours est de 700 drh, cher donc, mais depuis l’ouverture, le club applique un tarif découverte, à 350 drh, dont on espère qu’il perdurera ! 
www.golfdemogador.com 

Juin 2010

  • Une douche de plein air est dorénavant disponible sur la terrasse !
  • Deux formules “Dar Zouina Plus” déjà actives, se renseigner lors de la réservation :

– Location + Services initiaux (petits-déjeuners, ménage) + Demi-pension

– Location + Services initiaux (petits-déjeuners, ménage) + Soins (massage, gommage, hammam)

Mai 2010

  • Bientôt, une douche de plein air sur la terrasse !
  • En préparation, trois formules “Dar Zouina Plus” :

– Location + Services initiaux (petits-déjeuners, ménage) + Demi-pension
– Location + Services initiaux (petits-déjeuners, ménage) + Soins (massage, gommage, hammam)
– Location + Services initiaux (petits-déjeuners, ménage) + Green fee (golf)

Février 2010

Deux sacs de clubs de golf sont disponibles au riad. Ils vous sont prêtés gracieusement. Merci d’en prendre soin !

Décembre 2009

On a testé pour vous

Un petit institut de soins qui vient d’ouvrir à deux minutes de Dar Zouina. Des massages pro (une heure !) à prix doux, avec de l’huile d’argan toujours. Hammam, gommage et massages (tonique, oriental, etc., tous parfaits).